Identifier au sein de l’organisation les contraintes (facteurs de risques), les points de vigilance, ainsi que les ressources afin de construire un plan d’actions qui s’inscrit dans une démarche de prévention et d’évaluation des risques.
Le diagnostic permet d’identifier
Le diagnostic permet de prévenir ou améliorer une situation.
Les choix de la méthodologie (questionnaire, entretiens individuels, entretiens collectifs, observations des situations de travail, analyse de l’activité…) est effectué en co-construction avec les acteurs clés et les principaux utilisateurs/collaborateurs, en fonction du type d’entreprise (taille, secteur d’activité…) et de la finalité recherchée.
Le diagnostic doit être :
L’ensemble de ces outils, pluridisciplinaires, répondent à des exigences méthodologiques bien précises. La démarche ergonomique prend les problèmes dans leur ensemble.
Le questionnaire anonyme et confidentiel s’appuie pour partie sur des modèles validés par la communauté scientifique, et interroge l’ensemble des facteurs de risques. Il peut être complété et adapté pour d’autres champs qui interrogent des dimensions plus spécifiques en fonction des contextes d’entreprise. Cet outil permet d’établir une cartographie des facteurs de risques, en interrogeant l’ensemble des salariés. Le diagnostic ergonomique permet de situer les risques et leurs interactions dans le contexte des conditions de travail réel.
Les méthodes qualitatives (entretiens, analyse de l’activité) permettent d’interroger le travail réel, dans son contenu et son organisation, auprès des collaborateurs.
Associer méthodes quantitatives et qualitatives permet d’obtenir un diagnostic complet et de proposer des actions de prévention qui soient les plus adaptées à chaque situation.
1. Lancement de la démarche et engagement de la direction
2. Diagnostic
3. Restitution des résultats
4. Communication auprès des salariés
5. Mise en œuvre et suivi
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